Quand tout s’accélère : le choix d’Alexandre Il avait incomparablement aimé tout gérer. Alexandre, 45 ans, borne dans une grande enseigne de logistique, organisait la vie comme il organisait ses documents : sans place pour l’approximation. Tout était planifié, rationalisé, abordé. Pourtant, ce mercredi-là, il s’est senti submergé.
Michel était resté silencieux une circonstance. Ce n’était pas de la culpabilité qu’il ressentait. C’était comme un cours qu’on avait tiré, enfin, et qui reliait les séquences d’un puzzle vivement longtemps dispersé. La voyance immédiate, pour lui, n’avait rien d’ésotérique. C’était un miroir, une méthode d’accéder �
Dès les premières minutes, Olivier lui a parlé d’une rapport ancestrale qui n’avait pas formulé son dernier mot, mais qui ne devait pas non plus émousser son jet de renouveau. Il a évoqué, sans qu’elle en traite, une coupure claire, un début sur un malentendu, et une scandale encore à l'infini présente chez l’autre. Tout cela, Ma�
Michel était resté silencieux une occasion. Ce n’était pas de la culpabilité qu’il ressentait. C’était comme un cours qu’on avait tiré, pour finir, et qui reliait les morceaux d’un casse-tête trop longtemps dispersé. La voyance immédiate, pour lui, n’avait rien d’ésotérique. C’était un reflet, une méthode d’accéder l
Ce que Julie portait depuis l’enfance Julie avait 45 ans. Elle vivait dans un petit village auprès d’Angers, dans une domicile qu’elle avait héritée de sa grand-mère. Infirmière de nuit, elle passait le plus grand nombre de son temps à s’occuper des étranges, dans un rythme effacé, entre les couloirs de l’hôpital et les tranchée